RESTAURANT THIERRY DRAPEAU (Saint Sulpice sur Verdon) – Définitivement fermé

RESTAURANT THIERRY DRAPEAU (Saint Sulpice sur Verdon)

Tél 02 51 40 00 03 – Fermé le lundi, mardi et dimanche soir
Date du repas : samedi 12 octobre 2019 – le midi
deux menus « Harmonie des Saveurs » à 78 € (entrée -2 plats-dessert)
1 bouteille de Mercurey 
2 cafés
1 eau plate
2 cocktails du moment (et tuile de parmesan, romarin et pignons)
L’entrée…

 

 

Total : 294 €

La note de Monsieur : 17/20

La note de Madame : 17/20

Alors, ce repas ?
Dans un environnement champêtre, le restaurant est installé dans une ancienne dépendance du Logis de la Chabotterie. Nous tournons un peu avant de finalement nous garer sur le parking de l’hôtel, à quelques centaines de mètres du restaurant, mais nous sommes rapidement remis sur la bonne voie par les gérants de ce dernier.
Nous arrivons devant un bâtiment qui pourrait être d’anciennes écuries et nous sommes reçus par un jeune homme qui nous conduit dans la salle de restaurant.

Nous commandons rapidement un apéritif, celui du moment, qui est préparé dans la salle, laquelle est aménagée de façon à voir le travail du sommelier, bien sûr on en profite…
Nous nous décidons pour la formule à 78 € (une entrée, deux plats et un dessert imposés). Malheureusement, je n’ai pas pensé à prendre en photo le nom des plats et, comme la carte change régulièrement, elle n’est pas systématiquement mise à jour sur le site. 
Cependant, avant même que l’entrée soit servie, nous avons déjà eu 3 assiettes d’amuse-bouche (les tuiles au parmesan, l’assiette de 5 bouchées, et une assiette autour de légumes de saison.
Pour la première fois, on nous propose un chariot de pains, avec une petite dizaine de pains différents. Ce chariot fera autant de passages que nécessaire à chaque table.
Deux beurres sont également servis, dont l’un fumé au foin…

L’entrée se compose de ravioles d’escargots, avec un cromesquis au beurre d’escargot, je me souviens ensuite qu’il s’agissait de « cabillaud épais », puis d’un filet de canard de la maison Burgaud, accompagné notamment d’une purée de chocolat blanc : hé bien ça marche TRÈS BIEN !
Je ne parlerai pas de l’avant dessert, ni du dessert lui-même (une déclinaison autour de la figue) mais de la touche personnelle de la fin… Au moment où nous sont apportés les cafés, quand les mignardises sont posées sur la table, nous voyons le serveur arriver, un drôle de présentoir à la main… :

Et dans ce présentoir, trône un gros œuf au chocolat, façon Kinder, mais plus appétissant. Je n’ai pas le temps de m’étonner que le serveur prononce une phrase tout en cassant volontairement l’œuf sur la table, dont le contenu se répand sur la nappe (et accessoirement par terre hélas)…

Deux chocolats étaient cachés à l’intérieur (moins un qui est tombé par terre)… Bon, ok c’est original comme conclusion de repas, mais, à titre très personnel, je déteste manger dans les miettes, même de chocolat, même les miennes… Bref nous voilà en train quand même de picorer (c’est le cas de le dire) les miettes sur la table… Cela m’a vaguement fait penser à une émission de télé, où sous prétexte d’originalité, le cuisinier avait « jeté » volontairement les ingrédients sur la table, pour obtenir une sorte de tableau indéfinissable…
Bref, nous avons quand même passé un excellent moment, avec un service qui mériterait peut-être un peu plus de personnalisation ou de chaleur. Prévoir un sac pour les gens qui emportent leur bouteille non finie serait bien aussi, mais en tous cas, les madeleines fraîches offertes dans un sachet souvenir ont été très appréciées.

 

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