L’AUBERGE DE LA DILIGENCE (Loiré)

L’AUBERGE DE LA DILIGENCE (Loiré)

Date du repas : vendredi 18 octobre 2019 – le soir
Fermé le dimanche soir, lundi et mardi
2 menus surprise (92 €) 
2 cocktails maison
1 bouteille de vin
1 eau plate
2 cafés
Ravioles de langoustines cuites à la vapeur, servies avec une bisque
parfumée au saté
Velouté de girolles à la cardamome blanche de Bali,
crémeux de potiron au curcuma, espuma d’oignons caramélisés
Maigre aux légumes croquants du jardin
Cabillaud, sorbet à la tomate et sauce au citron noir d’Iran
Poitrine de porc à la plancha
Ris d’agneau braisé et légumes croquants
Au milieu de l’assiette de fromages : une feuille de l’arbre camembert…
Chou craquelin à la crème mascarpone de pralin de sésame noir,
glace au thé matcha, guimauve au citron 
2 cafés et leurs mignardises
1 bouteille de Saint-Romain

TOTAL : 169,50 € (au lieu de 261 € grâce au Passeport Gourmand)

La note de Madame : 15/20

La note de Monsieur : 17/20

Alors, ce repas ?

Sur un modèle immuable, le Passeport Gourmand nous « oblige » à prendre le menu  « Surprise » : deux entrées, deux poissons, deux viandes, fromage et dessert. Lors de la réservation, on nous demande si nous avons des allergies, et on nous recommande de ne pas venir trop tard.
En amuse-bouche, on tourne toujours avec le trio : maki-olives-pop corn, bon point pour le maki au poisson fumé, mais pouce en bas pour les olives-pop corn… pourquoi pas des cacahuètes ?
Nous avons ensuite un joli trio d’amuse-bouche, et nous passons aux choses sérieuses avec la première entrée, une excellente raviole généreuse en langoustine (certainement mon plat préféré du repas).
Les plats sont apportés les uns après les autres, avec très peu d’attente, et le vin nous est servi ou proposé avant que nos verres ne soient complètement vides. Tant mieux, il n’y a rien de plus frustrant que de voir sa bouteille de vin à l’autre bout de la salle, et être obligé de demander à être resservis.
Aussi incroyable que ça puisse paraître, nous avons découvert lors de ce repas les ris (en l’occurrence d’agneau).  C’est un abat qui ne nous a jamais attiré, et que nous ne commandons absolument jamais. Pas moyen de se défiler, et double punition pour Pierre qui ne mange ni veau ni agneau…Résultat : on a tout fini…
Pour l’assiette de fromages, on nous annonce au milieu, une feuille de l’arbre-camembert… Cette appellation sonne un peu comme dans les finales de Koh-Lanta où il faut trouver l’arbre-têtard ou la pierre-coquillage. Bon, cette feuille comestible a en effet un léger goût de camembert quand on croque dedans, mais sa texture très sèche fait que je n’ai pu que la mâchonner du bout des dents.
Le dessert était généreux (on n’avait plus beaucoup de place) et la guimauve maison est toujours une réussite. 
Pour finir ce repas à 6000 calories, nous nous laissons tenter par deux cafés (avec une très belle carte des cafés d’ailleurs) et finalement, nous vidons le plateau de mignardises… Conclusion : y’a plus d’étoile Michelin, mais nous on aime bien.

C’était comment avant ?

2 février 2018

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