LA TABLE DU BOISNIARD (Chambretaud)

LA TABLE DU BOISNIARD (Chambretaud)

Déjeuner du samedi 8 avril 2023
2 menus dégustation à 116 € avec deux cocktails, une eau minérale, une bouteille de Sancerre Blanc Dom Fouassier et 2 cafés
4 amuse-bouche (oui 4 !) et le cocktail maison, avec une émulsion au cassis

Deux amuse bouche supplémentaire ( Taille XL)
Sandrine et Pierre ► Le Chou Fleur en zéphyr, salade de coquillages et bouillon marin à la réglisse

Sandrine et Pierre ► La Langoustine bretonne en trois services, poireaux et kumquat du jardin, comme un beurre blanc mousseux à la bière brune IRSS vieillie en fût de chêne

Sandrine et Pierre ► Le Saint-Pierre en chartreuse, mâche de nos serres et pomme de terre, sauce suprême au caviar osciètre
Sandrine et Pierre ► Le Bœuf de Monsieur Chouteau à la braise, céleri-rave au café et jus corsé à la cardamome
Sandrine ► Le Chèvre frais de Touraine façon tourteau fromager, jeunes pousses du jardin, vinaigre de fleurs
Pierre ► Chariot de fromages affinés de la Maison Beneteau
Avant-dessertSandrine ► La Betterave en soufflé chaud, crème glacée aux pralines roses, feuille à feuille vinaigré au romarin
Pierre ► La Tartine de mon enfance au cacao, émulsion lactée au beurre fermier, caramel de levure et glace au pain grillé
2 cafés et leurs mignardises

Total : 337 €

 

La note de Monsieur : 18/20

La note de Madame : 18/20

Alors, ce repas ?
Les notes parlent d’elles-mêmes… Un moment d’exception, avec vue sur le château du Boisniard (nous avions la chance d’avoir une table très bien placée), un service attentif…
Les amuse-bouche sont nombreux et les saveurs annoncées sont présentes.
Nous avons pu échanger les ris de veau prévus dans ce menu avec le bœuf, sans regret.
Pratiquement chaque plat est présenté, puis agrémenté d’une sauce, ce qui ne facilite pas les choses pour les photos mais apporte un peu d’animation au cours du repas. Idem pour le soufflé, il arrive, on a envie de le prendre en photo directement, mais le serveur fait une croix dedans, et y insère une quenelle de glace… tant pis pour l’image, d’autant que cela reste présentable. J’ai noté un bon goût de betterave et on ressent bien la pointe vinaigrée, qui plaira aux palais les plus audacieux. 
Le cannelé en trompe-l’œil est en fait une très fine coque sucrée, (sucre tiré ?) et c’est une mousse très légère à l’intérieur, rien de lourd ni pâteux.
Le café n’est pas servi avec un sucre ordinaire, mais avec deux petites plaques de sucre caramélisé, qu’on mange, juste pour le plaisir…
Bref à faire, à refaire encore et encore, pour de moments d’exception…

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *