LA TABLE DU BOISNIARD (Chambretaud)

LA TABLE DU BOISNIARD (Chambretaud)

Tél 02 51 67 98 00
Date du repas : samedi 10 octobre 2020 – le midi
2 menus Découverte (48 €)
Amuse-bouche autour de la mogette
Sandrine ►LA SARDINE DE NOS COTES
En trois services, foie gras de canard grillé et Algues du Croisic
Pierre ► LES ŒUFS DE CAILLE
Coulants, cerfeuil tubéreux et champignons sauvages, lait forestier
Sandrine ► LE MERLAN DE LIGNE
A la plancha, salsifis et sarrasin soufflé, jus de volaille aux épices douces
Pierre ► LE LAPIN « LE MAGISTRAL »DE VENDEE
En paupiette, carottes de Monsieur Jasnière façon cheese cake, jus végétal à la tagète
Sandrine et Pierre  ► LE SAINT NECTAIRE FERMIER
En ganache crémeuse, champignons bruns et algues poivrées
Avant-dessert autour de la poire Nashi
Sandrine et Pierre ► LE PAIN AU CHOCOLAT
Croustillant, ganache au chocolat et beurre fermier cacaoté, glace au pain toasté
Gourmandises
1 Evian
1 accord mets et vins 3 verres
1 accord mets et vins 2 verres
2 suppléments fromages
2 cafés

Total : 88 € (grâce à une Wonderbox)

La note de Monsieur : 15/20

La note de Madame : 15/20

Alors, ce repas ?
Une Wonderbox nous a permis de revenir dans ce restaurant, dans lequel nous étions venus juste après l’obtention de son étoile, en février 2020.
Le livret fourni avec la Wonderbox indique en exemple de menu : Champagne, Entrée, Plat, Fromage, Dessert, pour le menu à 48 €.
Malheureusement, on nous dit que nous avons droit à un cocktail sans alcool (un jus de fruit) et nous comprenons que pour le fromage, il faudra payer… On ne va pas faire de pub pour la Wonderbox. Difficile d’apprécier l’amuse-bouche autour de la mogette avec un jus de poire !
On salue la finesse de l’ensemble du repas et son originalité. Pour l’entrée autour de la sardine, il y avait notamment une sardine crue, désarêtée, et farcie de foie gras, et un maki au foie gras chaud.
De nombreux intermèdes gourmands ponctuent ce repas, comme la dernière fois.
Gros coup de cœur en ce qui concerne le fromage, on ne voit pas bien sur la photo, mais le Saint Nectaire était généreusement travaillé en ganache sans être écoeurant, et les champignons venaient relever le tout, servi avec un jus d’algue poivré, mais pas du tout salé. On a adoré.
Je suis un peu perplexe sur la présentation du dessert, et notamment sur ces étranges « quenelles de chocolat-mascarpone » .
Comme la dernière fois, la gourmandise post dessert était servie dans une coquille d’œuf (de plein air, on a vérifié) ; cette fois, la coquille était remplie de mousse chocolat blanc vanille sur un fond de purée de de fruits de la passion, et la mouillette était un assemblage de noix de coco, chocolat et brioche.

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